Scolarisation des personnes réfugiées internes, une catastrophe éducative

Facteur d’espoir, les inscriptions des enfants de familles réfugiées internes du Burkina Faso dans l’enseignement supérieur a augmenté de 2%. Ce sont des milliers de jeunes qui pourront venir en aide à leur communauté et faire preuve de résilience grâce à l’un des outils les plus puissant contre la pauvreté : L’Education.

Malheureusement, selon le HCR, le taux de scolarisation pour les études secondaires des personnes réfugiées internes n’est que de 34%. Ce taux est bien inférieur au taux de scolarisation des enfants locaux.

L’accès aux études secondaires est pourtant essentiel car il permet à l’enfant d’augmenter ses chances de sortir de la pauvreté. Les études secondaires offrent une perspective d’avenir et d’espoir pour ces enfants.

Elles lui permettent d’être moins exposé à la contrainte des travaux pénibles et améliore sa capacité à prendre en main son futur.

Améliorer l’accès à l’éducation pour les personnes réfugiées internes, c’est aussi leur permettre une meilleure intégration dans les communautés locales. Apprendre à connaître l’autre, c’est désamorcer les aprioris et les tensions très présentes dans des zones soumises à des conflits violents.

Morija accueille des enfants de familles réfugiées internes dans les écoles qu’elle soutient

Morija Education