Organisée aujourd’hui 25 avril, la Journée mondiale de lutte contre le paludisme permet de mettre en évidence la nécessité de s’engager politiquement et d’investir de façon permanente en faveur de la prévention du paludisme. L’objectif est l’élimination complète de cette maladie.
Au niveau mondial, les progrès sont enthousiasmants, puisque la malaria est désormais absente en Europe et en Amérique du Nord et est en passe de disparaître en Asie du Sud-Est. Cette maladie transmise par un moustique reste responsable de plus d’un million de décès d’enfants par an, la plupart survenant au sud du Sahara. Elle est l’une des premières causes de mortalité en Afrique.
La COVID-19 a eu un impact négatif sur la lutte contre le paludisme. On a constaté une baisse des consultations, une réticence de la population à fréquenter les services de soins au début, une limitation des mouvements du personnel soignant et des malades, ainsi que des difficultés d’approvisionnement en médicaments, matériel et ressources humaines. (Reliefweb.int)
Malgré cela, la tendance est à la baisse des cas de paludisme. On le doit notamment aux actions de sensibilisation dans les communautés et à la distribution de moustiquaires imprégnées et de tests de dépistages, domaine dans lequel Morija est active au Togo par exemple. Profitons de cette journée pour sensibiliser nos connaissances sur les progrès qu’il reste à réaliser !
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